Été 1944 : la Résistance prépare le terrain pour les Libérateurs. À Veynes et Embrun, les Allemands s’enfuient avant l’arrivée des Américains. Il y a quelques combats à Gap. La prise de Briançon est plus difficile.
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21 août 1944, une Jeep entre dans Embrun désertée par les Allemands. Continuer de lire La libération d’Embrun
Le 19 août 1944, le pont sur la Durance et le viaduc de Bamafran sont bombardés pour préparer la libération d’Embrun… Mais les Allemands s’étaient déjà enfuis.
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Dès le 9 septembre 1943, l’armée allemande impose le couvre-feu. Les Embrunais doivent rendre les armes laissées par les Italiens et amener leurs fusils de chasse.
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150 Militaires allemands s’installent le 9 septembre 1943 à Embrun, qui devient ville de garnison d’un bataillon de chasseurs alpins allemands.
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Peu de Hauts-Alpins ont rejoint la Milice française, rejetée par la population. Pour l’Embrunais, la Milice est casernée à Montdauphin. De nombreux Miliciens finirent exécutés ou tués dans les combats.
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Ses forces vives étant aux fronts, l’Allemagne asphyxiée demande aux pays occupés de lui envoyer de la main d’œuvre. Par décret du 16 Février 1943, Vichy oblige la jeunesse à partir en Allemagne pour le STO.
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Que faire de ces 86.000 jeunes des deux derniers contingents incorporés au mois de juin 1940, en pleine débâcle ?
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L’armée d’armistice, créée avec les accords d’Armistice, entretient chez une partie de ses hommes et de ses cadres l’idée de revanche. Une minorité d’officiers, après sa démobilisation, en 1942 va rejoindre les maquis.
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Face à la débâcle française, Albert Lebrun nomme le Maréchal Pétain Président du Conseil. Celui-ci à Bordeaux forme son gouvernement et, le 17 juin 1940, appelle à un armistice avec l’Allemagne.
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Embrun en 1939-1945 